Cagnoli


Nom originaire du Piémont. Aujourd'hui, il est très répandu dans le nord de l'Italie, en particulier autour de Turin, en Lombardie (autour de Milan), en Emilie-Romagne (autour de Bologne), en Ligurie (autour de Gênes), ainsi que dans la région de Nice.


Famille originaire des "Cagnolo" de Castel Rocchero ? Aujourd'hui, on trouve encore deux Cagnolo dans le coin : à Castel Boglione et à Mombaldone. Il y a aussi un Cagnoli à Nizza Monferrato. Il reste 402 habitants à Castel Rocchero. Aujourd'hui, la Casa Cagnolo, à Monastero Bormida, produit du vin (d'appellation Asti, Moscato d'Asti, Brachetto d'Acqui, Alta Langa, Barbera d'Asti, Barbera del Monferrato, Cortese dell'Alto Monferrato, Dolcetto d'Asti, Freisa d'Asti, Monferrato, Piemonte).
 

En 1733-1734, un Francesco Cagnolo, résidant à Castel Rochero, fils de Giovanni Battista Cagnoli, est incarcéré à Acqui et comparaît devant la justice pour une double accusation (plaidée par Castel Rocchero et Fontanile) : 1) pour avoir giflé sa femme Antonia enceinte de 4-5 mois, la faisant tomber et provoquant sa mort ; 2) il est accusé de vol à l'encontre d'un certain Clemente Viazzi. Les faits ont eu lieu le 26.04.1731 et les 25-26.08.1733. Pour le décès de sa femme, il est banni de la province pour deux ans et condamné à indemniser les héritiers de la victime avec paiement des frais de justice ; pour le vol : il est acquitté et libéré sans paiement de frais.
En 1735-1736, Michele Cagnolo, résidant à Castel Rocchero, fils de Giovanni, est incarcéré à Acqui (avec Lorenzo Thea et Giovanni Francesco Ignazio Fiore), soupçonné de complicité dans l'homicide du maire de Calamandrana, Carlo Amedeo Dalmino, perpétré le 27.01.1734 à Calamandrana, strada delle Saline, dont Giovanni Francesco Bonifacio, absent, est soupçonné d'être le commanditaire et Thea l'exécuteur (Fiore est accusé de s'être parjuré pour couvrir Thea). Thea (originaire de Castelletto Moina mais résidant lui aussi à Castel Rocchero) est condamné à la torture pour révéler la vérité (au moyen de tenailles ardentes), pendaison publique, indemnisation des héritiers de la victime, avec paiement des frais de justice. La sentence de Michele Cagnolo était censée dépendre du résultat de la torture de Thea, l'issue n'est pas très claire.
On retrouve notre repris de justice Michele Cagnolo (ou est-ce un autre ?) dès 1739 (70 ans, donc né vers 1668-1669), détenu à Acqui sur quatre accusations d'abigeati (vol de bétail ?), perpétrés à Castel Rocchero, Nizza della Paglia (aujourd'hui Nizza Monferrato) et Fontanile en 07.1736 et 11.1737 (affaires plaidées par Nizza della Paglia, Pareto, Fontanile et Castel Rochero). Cette fois, il est condamné à la torture pour dénoncer ses complices, et à servir une peine de 10 ans de galère (donc jusqu'à 1749) sur les navires royaux et à indemniser les victimes, avec paiement des frais de justice.
En 1764-1765, une autre affaire opposera Giovanni Cagnolo dit "Nebbia" (résidant à Rocca d'Arazzo) à la justice d'Azzano (aux côtés d'Alessandro Caretto, Giovanni Battista Caretto, Tommaso Borello et Francesco Caretto), à l'issue d'une bagarre qui a fait un mort le 06.03.1764. Ils sont jugés par contumace, et Giovanni Cagnolo est condamné à payer une amende (ou 2 mois de prison), à indemniser l'homme qu'il a blessé et à payer les frais de justice.

...

Michele Cagnolo, +<1757 
Peut-être est-ce le galérien ci-dessus.

Giovanni Battista Cagnolo/Cagnoli, *v.1728?, +01.11.1788 (St-Martin-St-Augustin, Nice).
Originaire de Castel Rocchero, diocèse d'Acqui, en Piémont (ou de Nizza della Paglia, aujourd'hui Nizza Monferrato).
Épouse (acte de mariage du 23.05.1757 à Villefranche) Anna Margarita/Maria Argento.
Apparemment, lors de son mariage, il s'appelle encore Cagnolo. Giovanni Battista s'établit donc à Villefranche. Tous deux ont des noms à consonance étrangère. En revanche, à Villefranche, il y a déjà au moins deux familles Cagnoli (celle d'un certain Onorato, et celle des comtes de Massoins). Dès le baptême de son premier enfant, le nom de Giovanni Battista devient Cagnoli.
Son travail est sans doute en rapport avec les galères, dans le port de Villefranche ou à terre. À la fin de sa vie, il sera "Invalido al regio servizio" [sur l'acte de décès de son fils Andrea] (invalide de guerre, blessé au service de l'armée sarde ? dans la marine ? d'où Villefranche ?).

Michele Andrea Cagnoli, *11.07.1764 (baptisé le 12.07 à Villefranche), †06.01.1839 (acte du 10.01 à St-Michel, Villefranche ; inhumé le 07.01 au cimetière du lazaret de Villefranche).
Sa famille s'installe à Nice vers 1782 (selon recensement 1822).
Marin (comme son père). Illettré.
Il se marie (acte du 12.05.1788 à Nice Ste-Réparate) avec Anna Maria Dassori/Dessai/Dassai/Dassoi (citoyenne génoise, fille d'un certain Angelo).
Le couple s'installe d'abord à Ste-Réparate, où réside la mariée, puis ils déménagent à St-Jacques.
Pendant la guerre de 1792-1796, ils sont en exil à Gênes.
En 1796, ils rentrent à Nice. Andrea est toujours "marin" (donc dans la marine marchande).
1801 : rue des Marins
1803 : rue Poissonnerie
À la Restauration, Andrea deviendra garde sanitaire au port de Nice.
Toujours domicilié à Nice avec sa femme, il meurt au Lazaret royal de Villefranche (en quarantaine ?).
Leurs enfants :

& Salvino Bensilum
Giuseppe Cagnoli, *06.09.1790 (Nice, acte du 08.09 à Ste-Réparate), †12.09.1824 (Nice St-Jacques ; enterré le 13 au cimetière municipal).
Menuisier. Lettré.
A épousé (à Nice, le 26.12.1810) Marie Marguerite Séraphine (ou Giuseppa) Farnoux. => c'est le premier mariage d'un Cagnoli à St-Jacques, apparemment.
Leurs enfants :
Antonio Luigi Cagnoli, *27.02.1816 (Nice, Royaume de Sardaigne ; à St-Jacques), †06.07.1869 (142 rue de France, Nice, France).
Exempté du service militaire car borgne.
A épousé (à Ste-Réparate, le 19.01.1845) Madeleine Sauvet/Chauvet (rentière en 1860).
Il s'installe à son compte comme ébéniste en 1847.
Changement de souveraineté en 1860 (abstentionniste).
Recensement de 1861 : quai Saint-Jean-Baptiste (maison "340")
En 1861, un "Antoine Cagnoli" fait une demande pour placer une devanture à son magasin, rue des Ponchettes.
Recensement de 1866 : rue de France (au "94", mais les numéros des maisons sont flottants) : Antoine ébéniste, Madeleine sa femme, Élie marqueteur et tous ses frères et sœurs.
Enfants :
Elia Ferdinando Cagnoli, *23.10.1847 (acte de baptême du 26.10 à St-Jean-Baptiste, Nice, Royaume de Sardaigne), †03.01.1916 (9 rue Paradis, Nice, France ; acte de décès du 03.01 ; enterré à Caucade, Carré 1).
Il tient ses prénoms de son parrain, Elia Novikof, valet de chambre, et de sa marraine, Maria Ferdinandi née Bailet, domestique.
Marqueteur.
Recensement de 1866 : au "94" rue de France (numéros flottants) : Antoine ébéniste, Madeleine sa femme, Élie marqueteur et tous ses frères et soeurs.
1869 : mort du père (au 142 rue de France, selon l'acte de décès).
En 1872, à la mort de sa mère, il devient le chef de famille et s'occupe de ses frères et soeurs rue de France (lui et son frère Louis sont les aînés, tous deux marqueteurs).
Recensement de 1872 : au "101" rue de France 
Épouse (acte du 02.08.1873) Joséphine Rey, *03.03.1852 (baptême à Saint-Jean-Baptiste), †02.07.1876 (enterrée à Nice Caucade), rentière de 21 ans, fille majeure de feu Hippolyte Rey et de feue Anne Marie née Ciaudo. Deux jumeaux naissent le 29.05.1874, rue du Lavoir, maison Dalmas :
Recensement en 1876 : (je ne trouve pas les Cagnoli !?)
Puis Élie Ferdinand épouse en secondes noces (14.07.1877, Nice) Joséphine Falicon, sœur de sa belle-sœur Louise ; Louis, frère d’Élie Ferdinand, est témoin.
Il reprend le commerce du père et crée l'enseigne "Au bois mosaïque", rue Paradis.
Leurs enfants :

& () Jacques Leconte, *03.04.1915, +15.02.2003 (Saint-Raphaël)

Éloi Antoine Élie Cagnoli, *03.08.1883 (6 rue Paradis ; acte de naissance du 05.08, Nice), †23.01.1963 (Nice, enterré à Caucade).
A épousé (acte du 30.11.1911, Nice) Joséphine Victorine Carles.
Mobilisé le 02.08.1914 en tant que sergent au 311e régiment d'infanterie en 1916. Médaille militaire en 1918.
En 1942, Éloi et son frère Victor effectuent une opération immobilière en période de guerre (qui fait donc l'objet d'une autorisation spéciale) avec un certain Clément Cizey.
Leurs enfants :

2e mariage (11.04.2001) avec Florence Lansac

2e mariage de France (1972) avec Max Lambert

a épousé (12.1985) Philippe Claude Blanc *06.10.1959, agent Air France
Élie Victor Marie Cagnoli, *20.09.1912 (8 rue Paradis ; acte de naissance du 21.09, Nice), †18.08.1990 (Nice, enterré à Caucade).
Adopté par la Nation en 1921 (jugement rendu le 19.02 par le Tribunal civil de Nice).
Service militaire (1934-1937) : E.O.R. 19° R.A.D., Nîmes.
Pendant ses études d'architecture aux Beaux-Arts de Paris, il fait la connaissance de France Vial, une jeune Provençale originaire de Salon et étudiante à Paris, dont le père vit à Vitry-sur-Seine et un frère à Paris.
Élie épouse (27.04.1940, Nice) France Mireille Vial. Le mariage civil est célébré en mairie par Jean Médecin, maire de Nice. À la cathédrale Ste-Réparate, ils sont unis à la sacristie (la mariée étant protestante). // témoins : Antoine Cazzaza pour Élie ; la tante Annette pour Mireille (parce que le père de Mireille ne peut pas venir)
Le couple s'établit brièvement à Nice. En août 1941, France se retire quelque temps à la campagne, dans les Basses-Alpes (Pension des Charmettes, Beauvezet). Élie reçoit son diplôme d’État d'architecte fin 1941.
En janvier 1942, ils sont au 12 rue d'Angleterre. En juin 1942, ils sont au 17 rue Jules-Vallès à Saint-Étienne. En octobre 1942, ils s'installent à Nice au 13 av. Notre-Dame. (Puis de nouveau au 12 rue d'Angleterre.) Naissance de Jean-Michel en juin 1943. En 1944, la famille est évacuée dans le haut pays, à Saint-Auban, jusqu'à l'automne. Ils reviennent au 13 av. Notre-Dame.
Leurs enfants :
Jean-Michel Cagnoli, *04.06.1943 (Nice).
Architecte.
A épousé (04.1971, Marseille) Michèle d'Hauenens.
Leurs enfants :

ép. (05.07.2014, Bourg-en-Bresse) Cédric Cinier *30.04.1980


Sébastien Jean Marie Cagnoli, *12.12.1976 (Nice ; baptême à St-Paul-de-Vence en 02.1977).



Verceil

Les Cagnoli de Verceil sont marquis de La Chambre (1683), vicomtes de Maurienne, seigneurs de La Chapelle, conseigneurs de Desana.
Blason : "scaccato d'argento e di rosso, con il capo d'oro carico di un'aquila di nero (coronata e rostrata di rosso)"
=> Alba
=> Nice 
Les Cagnoli du Comté de Nice, de même origine, sont comtes de Massoins (1723) ou de Sainte-Agnès (1784).

=> Saint-Martin-Vésubie :

palais du XVIIIe siècle

CAGNOLI Jean
& THAON de REVEL Perinette
(2) x GILETTA Françoise, ° 1809
 
1= MARTIN Ludovic Antoine Michel ° 1819, + 1901, Propriétaire Contadino (famille 393)
x CAGNOLI Joséphine, ° 1830, Propriétaire ménagère
 
1] Jean Antoine
x

1° Sébastien, notaire
x
1- Jean Pierre
x
1- Jean
x
1- Jean
x
1- Jean Baptiste, pharmacien
x
1: Jean Mathieu, avocat
x
1* Jean André, ° à
x CAGNOLI Annette Josèphe (branche n° )
1* Jean André, ° à
x
1* Jean André, ° à
x
1* Joseph Marie Cagnoli, ° à
x LAUGIER Angèle =
Angéline Marie Laugier née le 10 avril 1780 (Roquebilliere), +24 décembre 1865 (Roquebilliere) 1- Pierre André, ° à, agrimentore
x BERTRANDI Catherine
1* Giuseppe, ° à
x
1= Antoinette, ° 1839, 165, Rue du Plan, (descend)
x GHIBERT Joseph, ° 1837, Contadino

1= Joséphine, ° 1830, 222, Rue Augieras (descend)
x MARTIN Michel, ° 1820, Contadino

1- Jean Baptiste, chirurgien
x
1] Jean André
x
1( Antoine
x

1- Jean Honoré, avocat (+ av. 1763)
x
1- Jean Baptiste
x (1) INGIGLIARDI Claudine
x (2) 12/4/1768 à SM GIUGE Jeanne, du Chirurgien Paul

Flamin CAGNOLI
& Maria CORNIGLION,

Louis Cagnoli,
mentionné sur le monument aux morts de 1914-1918

XY Cagnoli
& Henriette Giuglaris (mentionnée sur le monument aux morts de 1939-1945)


En Piémont :

Novare 

14.03.1614 : consegnamento fatto da Fabrizio, Cesare, Ottavio, e Scipione fratelli di Cagnolo, e da Claudio, Marco, Antonio, ed Angelo Maria fratelli di Cagnolo del Feudo di Granozzo, cioè detti Fabrizio, e fratelli per la metà indiuisa, e detti Claudio, e fratelli per l'altra metà indivisa.

Coni 

En 1721-1736 : Sentenza del Fisco di Bernezzo contro Giuseppe Gaviglio di Giovanni Tommaso, residente a Villar San Costanzo località La Morra e Raimondo Arlotto di Bernezzo, e Giuseppe Arnoletto, e Magno Bono, e Giacomo Giordano. Accusato, Raimondo Arlotto di aver sparato un colpo di pistola alla schiena, ferendo Bartolomeo Delfino e aver ferito, con sparo di arma da fuoco insidioso Francesco Cagnolo e Francesco Agnese, poi morto; resistenza alla giustizia armato di pistola e fucile in occasione di nozze; essersi offerto di uccidere il priore Rippa di Bernezzo; essere fuggito dalle carceri di Borgo San Dalmazzo ferendo gravemente un soldato di giustizia con un colpo di coltello e altro; aver ucciso in modo insidioso e premeditato con sparo di arma da fuoco Gabriele Giuseppe Giglio oltre aver sparato contro suo fratello Giovanni Battista, reati consumati nel 1721,1723,1724,1735 e 1736, l'imputato in stato di detenzione è stato giudicato colpevole il 17 dicembre 1740 e condannato come rematore sulle navi regie per 10 anni, indennizzo agli eredi degli uccisi e dei danneggiati a al pagamento delle spese.

Turin

À Caluso : En 1628-1630, Giovanni Battista Cagnolo (d'Oreglia (Loreglia ?), Val di Strona, Stato di Milano), cordonnier résidant à Turin, et à sa femme Maria Milanesia, née à Caluso, a obtenu la citoyenneté de la principauté du Piémont, pendant que l’État de Montferrat était occupé par les ducs de Mantoue.

Pietro Tommaso Cagnolo (1683-1713), notaire

Maria Antonio Cagnolo (1725-1761), notaire de Poirino, residente a Torino. 

Castel Rocchero (certainement apparentés)

Francesco Cagnolo, *10.08.1864, +20.05.1933 (Castel Rocchero)
& vraisemblablement Giovanna Foglino, *15.07.1878, +23.09.1957 (Castel Rocchero)
Les suivants sont sans doute leurs 3 enfants :



À Villefranche :

Giacomo Cagnoli

Francesco Onorato Cagnoli est "guarda magazeno" au port de Villefranche. En 1723, il est nommé "comte de Massoins".

Onorato Cagnoli et ses enfants :

Giovanni Antonio Cagnoli
& Anna Maria Brun

Claudio Cagnoli
& Ludovica xxx,



À Nice

Paroisses St-Jacques et Ste-Réparate (jusqu'à 1795, aucun Cagnoli n'est baptisé à St-Jacques ; jusqu'à 1810, aucun Cagnoli ne se marie à St-Jacques) :

Giovanni Luigi Cagnoli, noble, conservateur du Palais Royal.
& Maria Catharina Squarciafichi (+1774, acte de 05.1767 à St-Jacques église ? St-Gaëtan ?).

En 1822, des Cagnoli sont recensés dans 7 familles : 6 descendant de JB et d'Anna Argento + 1 non apparenté (originaire de Thiéry).

1914-1919 : qui est "Auguste Léon Cagnoli" au monument aux morts de Rauba Capèu ? une redondance issue d'une confusion avec Auguste Éloi ?

Thérèse CAGNOLI,
& Jean-Baptiste FARAUT

Catherine CAGNOLI.
& Jules ROGIE/PUGIER

Marie-Madeleine CAGNOLI
& Joseph SEREN

Catharina Cagnoli *v.1767, +24.03.1830 (St-Jacques)

Silvio Cagnoli mort en 1839

Giuseppa Cagnoli morte en 1839

Antoine Louis Cagnoli
& Thérèse Vielle

Marguerite CAGNOLI.
& Félix GARDET

Pierre Cagnoli
prof de maths, inspecteur de l'éducation nationale à la Réunion ?

Pierre Cagnoli *24.04.1953 (Nice)

Pierre Cagnoli *02.09.1971
docteur en droit, prof de droit

Sylviane Cagnoli
endocrinologue

Sylviane Cagnoli *1947 (Nice)
& XY Amrane

Sylviane Cagnoli
psychanaliste à St-Denis


À Contes / L'Escarène

Madeleine CAGNOLI
& Barthélémy MASSIERA

À Thiery

Andrea Cagnoli +>1798
& Joanna Giaume 


Matteo Onorato Cagnoli, *1766-1767 (à Thiery), †14.04.1808 (acte de décès du 15.04 à Nice St-Jacques)

Matteo Onorato Cagnoli,
& Catherine Joséphine (Saurin?)
À Thiery

Utelle

Francesco Cagnoli +1842
& (27.04.1792, Utelle) Sophie Faraud/Faraut, +<1822
À Utelle

Onorato Cagnoli

Caroline CAGNOLI.
& Jules BOVIS

Charles Jean-Baptiste Cagnoli *1849 (Utelle) , +09.1912 (Nice)
& (23.10.1876, Nice) Marie Philippine Cagnoli (*1845)
En 1906, ils habitent à Nice, 30 bis rue de Falicon.

Gilette

Ludovic Cagnoli +>1871
& Elisabetta Comba +>1871
à Gilette, puis Nice

& (29.04.1871, Nice) Baptistine Barraja *v.1838 (Berre)



Valenza 

Blason : d'argento, al pino di verde
Gerardo Cagnoli, *1267 (Valenza, Piémont (sur le Pô, près d'Alessandria)), †29.12.1342 (Palerme).
Après la mort de sa mère en 1290, il entre dans un ordre franciscain en Sicile (à Randazzo, sur l'Etna). Béatifié par Pie X le 12 mai 1908. Sa vie est racontée par le frère franciscain Bartolomeo Albizzi (Bartholomée de Pise, 1361) dans la Legenda S. Gerardi de Valencia.
Ses reliques sont conservées dans une chapelle qui lui est dédiée en la basilique San Francesco de Palerme.
Une chapelle lui est dédiée aussi en l'église St-François de Valenza.

Dans la même famille, on trouve un Giovanni Battista Cagnoli mort le 11 juillet 1621, qui serait le dernier de la lignée.


en Italie

Giovanna Cagnoli.
& Azzolino Malaspina, *, †1327, marquis de Fosdinovo.
Leonardo Cagnoli, *(Venise ?), 1362-1369.
Prêtre à Venise (paroisses San Silvestro et San Geminiano), et prieur de l'hôpital San Marco.
En 1348, le pape Clément VI le nomme évêque de Pola. En 1353, il est nommé évêque de Chioggia (jusqu'en 1362).


Cagnoli, Nerio, da Cortona. Orfèvre, autour de 1395.
mentionné par Benjamin G. Kohl dans Padua Under the Carrara, 1318-1405

Michele de Cagnoli. Notaire à Venise et Padoue autour de 1400-1412.

Donato Cagnoli : "Donato Cagnoli è un prodotto della Schola del Duomo (Milano). Viene assunto in Duomo a fine maggio del 1446 per sostituire due pueri (Moysino da Besana e Nicola Conti) ed era fanciullo del coro..."

En 1511 : Battista et Giovanni Cagnolo, brièvement employés (mercenaires ?) à Ferrare à la cour d’Este (Alphonse Ier, duc de Ferrare, de Modène et de Reggio).

Lorenzo Cagnoli. Vivait à Cento (région de Modena) autour de 1521.

Lorenzo Cagnoli, serviteur de Joseph Lutini, à la cour de Marie Stuart (XVIe siècle) ?
Lutini's clothes were in his box, but Lutini's servant, Lorenzo Cagnoli, had already informed Timothy that his master had taken everything in Mary, Queen of Scots and the Murder of Lord Darnley by Alison Weir.

L'abbé Belmonte Cagnoli figure dans de nombreuses encyclopédie, et est cité dans L'homme de génie de Cesare Lombroso (traduit en francais par Fr. Colonna d'Istria, 1889) comme exemple d'"homme de talent sans génie".

Ottavio Cagnoli
Originaire de Vérone
& Elena Terzi.
Conseiller du gouverneur de Zante Pietro Bembo (en 1743) .

Leopoldo Cagnoli, corniste suicidé à Trieste le mardi 26 février 1891 pendant une représentation de Simon Boccanegra. Au commencement du dernier acte, il monte au deuxième étage de l'escalier, se jette dans le vide et se fracasse la tempe contre un bec de gaz. Le public ne se rend compte de rien.

Des Cagnoli sont enterrés au cimetière de Gênes Staglieno.

Paolo Cagnoli. Acteur italien. A joué dans Corri come il vento, Kiko en 1982 (avec Richard Harrison).

Ubaldo Cagnoli, *21.12.1969

Fabio Cagnoli, bodybuilder (de Casalmaggiore, Lombardie)

Giovanni Cagnoli, *1976 (triathlon, semi-marathon...)



Uruguay

Benoît/Benito Cagnoli *? [Est-ce le fils de notre marin Andrea, né à Nice en 1803 ??], +>1884 (Montevideo ?)
& (1822-1837? Montevideo ?) Anne/Anna Ribeaud/Ribaud(o)/Robaud(i/y)/Rebaud(i)/Rivao, *?, +<1879 (Nice ? Montevideo ?)  [Une Anne Marie Joséphine Robaudi (fille d'Horace cordonnier et d'Andrivette Bessi) est née à Nice le 21.01.1804 // À Montevideo, une Ana Rebaud mariée à Antonio Abbo donnera naissance à un Bautista Abbo Rebaud en 1908.]
(tous deux originaires de Nice ? Saint-Martin-Vésubie ? ou elle d'Uruguay ?... Ils ne sont pas en couple à Nice en 1822.)
Y a-t-il un exil des États-Sardes suite à la répression des événements de 1830 ?
Dans les années 1830-1840, ils résident à Montevideo et donnent naissance à plusieurs enfants.
Grande Guerre d'Uruguay en 1839-1851 [Garibaldi en exil en Uruguay depuis 1941. Le 10 avril 1843, il forme la Légion Italienne avec les immigrés italiens de Montevideo. En 1848, 62 légionnaires l'accompagnent lorsqu'il rentre en Europe.]
En 1860, ils deviennent automatiquement français ?
En 1877, Benoît est toujours à Montevideo. Victime d'abus de confiance, il se présente comme un "père de famille dans la misère" :

Affaire Cagnoli-Esteves en 1877 (victime d'abus de confiance), au tribunal de commerce de Montevideo :
Juzgada de Comercio
Montevideo, Agosto 27 de 1877
Tengo el honor de acusar recibo á V. E. del oficio que me ha dirijido, adjuntando áeste Juzgado, cópia y traduccion de las notas cambiadas con la Legacion de Francia, con motivo del incidente ocurrido con el Capitan de la Barca Ludovic el (...)

(TRADUCCIÓN)
Legación de Francia en Montevideo.
Montevideo, Julio 24 de 1877.
Sr. Ministro:
   Tengo el honor de enviar á V. E. rogándole me lo devuelva, el expediente adjunto, que me dirije un francés Sr. Cagnoli Benoít. Ese expediente se compone: l.° de la reclamacion del querellante a esta Legacion; 2.° del escrito presentado por el mismo al Señor Juez del Crimen de la la Seccion: 3.° de la resolucion negativa de ese Juez; 4.° de una cópia auténtica de un titulo de depósito firmado por el Sr. Esteves á favor del Sr. Cagnoli, base de la accion (...)
   Resulta, en efecto, de una nota tomada en la oficina de Trasferencias, que esas ventas fueron hechas el 6 de Agosto y 4 de Setiembre de 1869, por 16,900 $ de Deuda Franco-Inglesa y el 11 y 14 de Setiembre del mismo año, por 12,500 $ de Deuta Interna.
   Como consecuencia de este abuso de confianza Cagnoli está en la mas espantosa miseria, sin que le sea posible obtener del Juez del Crimen satisfaccion contra el Sr. Esteves.
   Invoco en favor de este desgraciado padre de familia, todo lo que la alta posicion de V. E. le permita hacer en obsequio de la justicia y de la humanidad.
   Acepte, Sr. Ministro, la nueva seguridad de mi alta consideracion.
   Julio Doazan.

A.S.E. el Sr. Dr. D. Ambrosio Velazco, Ministro de Relaciones Exteriores. Montevideo. Legacion de Francia en la República Oriental del Urugnay.

Número 4

Montevideo, Diciembre 16 de 1874.
Estimado compadre :
Con arreglo á lo que Vd. me pide, he recibido el documento que me manda para que loieiiueve ; va pues el otro renovado con fecha de hoy y con los intereses que se han 'cobrada-segun las remesas que le he hecho. (...)
Firmado : Francisco Esteves.

Número 5
He recibido del Sr. D. Benito Cagnoli, en títulos que deja en depósito lo siguiente:-—Trece títulos de la deuda Franco Inglesa de mil pesos cada uno,—siete de quinientos pesos cada uno, y cuatro de cien pesos que (...)

(Memoria del Ministerio de relaciones exteriores, Montevideo, 1879, pp. 189-190)

Il semble qu'Anne meure vers 1878 ou même avant (à Montevideo ?) et que Benoît rentre alors en Europe avec les enfants.
En 1878-1880, Benoît est rentier à Marseille (cf. annuaires marseillais : 2 rue de Rome en 1878-1879, 12a rue Dragon en 1880). À cette occasion, en 1879, il marie sa fille à un commis, également domicilié à Marseille, fils de négociants né en Uruguay (sa mère, veuve, réside à Nice).
En 1881, Benoît ne figure plus dans l'annuaire marseillais : il est sans doute retourné à Montevideo, seul, maintenant qu'il a placé ses enfants américains à Nice et à Marseille.
En 1884, lors du mariage de Jean Henri à Marseille, Benoît envoie son consentement (via le consulat de France à Montevideo : il est domicilié à La Paz).

José Antonio Cagnoli
& Juana Ana Lansot

???

Adolfo Cagnoli
& (1924, Montevideo) Elida Peraggine

???


nom de personnage ("Aldo Cagnoli") dans Blood Pact & Other Stories de Mario Benedetti (auteur uruguayen)



Argentine

Benito Cagnoli
& Catalina Perazza
Don Pedro Cagnoli s'est installé à Tandil (près de Buenos Aires, Argentine) au début du XXème siècle, pour y faire carrière dans le salami. => http://www.cagnoli.com/

Oscar Cagnoli. Acteur en Argentine (télévision).

en Amérique du Nord

Michael Cagnoli. Acteur. A joué dans Ozone (aka Street Zombies) en 1993.


(c) 2004-, S. Cagnoli