Dalmasso et Chaudoul
      sur les hauts adrets de l'Estéron
    
     Dalmasso
      à Ascros
Dalmasso
      à Ascros
    Mateo Dalmasso et Pirina Alziaria vivent à Ascros à la fin du XVIe siècle. 
    Cette commune du Comté de Nice se trouve alors à la frontière du
    Royaume de France. 
    
    Parmi leurs enfants, Bertomaireta (née au tournant du
    siècle) va quitter le village et descendre en ville : elle se marie
    à Nice en 1627 (paroisse Saint-Martin-Saint-Augustin) avec
    Pietro Lombardo, originaire de Peille : 
    
    
    
    
    Bertomaireta meurt dès 1633, après avoir donné naissance à plusieurs
    enfants. 
    
    
     Chaudoul à Toudon
    Jouan Chaudoul et Louise Brune vivent à Toudon. Nés à la fin du XVIe siècle, ils
      se sont mariés au début du XVIIe.
      Parmi leurs enfants, Jouan est baptisé en février
        1621. Dans cette vallée de la rive droite du Var, les actes
      paroissiaux sont en français : 
    
    
    
    Jouan fils s'installera à Nice : mariage en 1645 (SR) avec
      Catherine Lombarda *1629 (Nice SR)... fille de Bertomairetta
    Dalmassa. 
    
    
    Dans les vallons de l'ouest de Nice
    Parmi leurs enfants, Jouan Chaudoul junior (né en 1661)
    épousera en 1682 une Maria Cattarina Fossata, de la
    famille Del Fossato, arrivée des
      campagnes génoises au siècle précédent. 
    
    À Nice, l'orthographe de ce nom de famille inhabituel va être
    souvent altérée : Chaudol, Chaudolo/li, Chiaudo(lo/li)... 
    
     Au XVIIIe siècle, sous la graphie italienne Ciaudo,
    les descendants sont cultivateurs dans les vallons de l'ouest de
    Nice et vendent leurs produits sur les marchés.
Au XVIIIe siècle, sous la graphie italienne Ciaudo,
    les descendants sont cultivateurs dans les vallons de l'ouest de
    Nice et vendent leurs produits sur les marchés. 
    
    Teresa Ciaudo (1782-1860) se marie sous l'occupation
    française (en 1806) avec un Francesco Gimello, cultivateur à
    Saint-Barthélemy. 
    De par son ascendance Del Fossato, elle est cousine au 5e degré avec
    le peintre et illustrateur Vincent Fossat (1822-1891) [ci-contre : Le chemin creux]. 
    
    
      
       Une représentation imaginaire de Maria Gimello, fille
        de Teresa et Francesco, marchande de fruits, vers 1850.
      Une représentation imaginaire de Maria Gimello, fille
        de Teresa et Francesco, marchande de fruits, vers 1850. 
     
    
      Sépulture de Marie
            Gimello (+1880) et de son mari Louis
          Pons (+1876) au cimetière du Château.
      
    
    Sources : 
        Archives
          départementales des Alpes-Maritimes